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Accompagnement pour l’acquisition et la prise en main d’un catamaran

Accompagnement pour l’acquisition et la prise en main d’un catamaran
Allez, bonjour à tous et à toutes. Euh, vidéo parlée cette semaine. Ça fait 3 semaines que vous voyez Didier et Nathalie. Si vous regardez, je l’ai eu au téléphone il n’y a pas longtemps. Euh, on vous fait un coucou.
Euh, pourquoi cette vidéo ? Euh, suite au stage de formation de Didier et Nathalie.
La semaine prochaine, on recommence avec des Canadiens cette fois-ci. Il y aura un petit accent.
Euh, j’ai reçu pas mal de messages de gens qui m’ont contacté pour savoir si je pouvais les accompagner pour acheter un bateau, etc.
Alors donc, Jean-Jacques, normalement, quand cette vidéo va sortir, je ne sais pas si j’aurai encore répondu. J’ai pas eu le temps de répondre aux e-mails.
Euh, pourquoi les gens sont soucieux de cet achat ?
Alors c’est bien, parce que quand j’ai les stages et que ce sont des futurs propriétaires, j’arrive mieux à comprendre le process qu’il y a derrière. Moi, j’ai déconnecté tout ça, parce que j’ai eu mon premier bateau il y a des années, et j’ai fait le processus, et maintenant ça me paraît tellement naturel.
Et là, le fait d’avoir des gens qui viennent à bord et qui ont envie d’avoir ce projet-là, et de discuter avec eux, ça me remet dans le bain de la compréhension des craintes qu’ils ont.

Alors la première… euh, j’ai fait une petite liste :
La première, c’est les marques, modèles du bateau. Est-ce qu’il est adapté, pas adapté ? Est-ce que… neuf vs occasion ? Est-ce qu’il y a des vices de forme, etc. etc. ? Qu’est-ce qui se cache derrière tout ça ?

Alors il est évident que si vous n’avez pas suivi le marché du bateau et que vous n’êtes pas dans le monde de la voile depuis des années, et que vous allez… euh… soit sur un salon nautique, soit voir un broker…
Ben, les deux, comme dirait mon ami Dédé, ils ont une perceuse à vendre. Et comme ils ont une perceuse à vendre, tous les problèmes sont un trou. Parce que quand tu as un problème, c’est un trou, et ben moi j’ai la solution pour faire des trous, j’ai la perceuse.
Et eux, c’est exactement la même chose : leur solution, c’est d’acheter un cata qu’ils ont en stock, et pas celui du voisin.
Donc le broker va vous proposer ce qu’il a. Et la marque, quelle qu’elle soit, ne va pas vous dire « allez acheter chez la concurrence », parce que pour votre programme, c’est eux qui ont ce qu’il faut.

Donc inévitablement, le conseil n’est pas personnalisé, et il est très intéressé.
Là, avoir un avis extérieur de quelqu’un qui vous voyez, quand Didier et Nathalie étaient là la semaine dernière, on a discuté beaucoup de leur projet, à savoir combien de personnes à bord, dans quelle zone de navigation, pourquoi cette zone en fonction de l’âge, du désir de faire de grandes navigations ou pas, faire des navigations de nuit ou pas, l’opportunité que représente la zone de navigation par rapport à l’image qu’on s’en fait et la réalité.
“Tiens Stéphane, tu as parlé de ça dans pas mal de vidéos, qu’est-ce qu’il en est ?” etc. etc.
Donc on détermine vraiment la zone de navigation, et en fonction de ça, on dit : “Bah voilà, si vous avez envie de faire ça, ça et ça, vous serez tant à bord, tu comptes recevoir des amis, tu comptes pas en recevoir ou très peu, et dans telle zone de navigation… là, on peut complètement déjà rentrer dans le vif du sujet, à savoir la taille du bateau, la proximité où on veut l’acheter, et ce qu’on a envie de faire avec.”
Ce que ne feront pas des gens du chantier.

Et donc là, Didier est venu, il m’a dit : “Moi, tu sais, j’aime bien ce modèle-là, ce modèle-là, ce modèle-là.”
Euh, ben je lui ai dit : “Oui, moi j’allais te proposer ça et ça, mais au vu de ce que tu viens de me dire et de ce qu’on vient de partager, OK, on peut descendre d’une taille. En ce qui concerne la zone d’achat, on est machin, on est ci, on est là.”
Et on a complètement finalisé ça. Et pour lui, ça l’a conforté, ça leur a enlevé les doutes en disant : “Ben oui effectivement, là on est… on n’est pas tombés d’accord, mais l’évidence a fait que c’est bien ces deux, trois modèles qui sont intéressants pour notre projet, c’est bien là qu’on veut faire le projet, et c’est bien dans ces conditions-là qu’on veut faire le projet.”

Donc ça, si vous voulez, on l’a validé.
Derrière se passe l’étape numéro 2, où là, alors certains sont à l’aise, d’autres pas à l’aise : rendez-vous avec les brokers ou les propriétaires par téléphone, et il faut commencer à discuter.
Alors si c’est pas en français, c’est plus compliqué. Là, le dollar est en train de se casser la gueule, donc en ce moment, c’est bien d’acheter en dollars à l’étranger.
Pour ça, être bilingue, complètement, c’est un gros plus.
Et je vous rappelle que j’avais SLV Marine, donc une société en Thaïlande où on faisait de l’achat et vente de bateaux, et où on faisait du charter, et que les contrats de vente de bateau, de brokerage, de contrat exclusif, etc. etc., combien prennent les brokers, combien prennent les compagnies, les conditions, jusqu’où on peut tirer, etc. etc., je connais ça sur le bout des doigts. J’ai fait ça, c’était mon gagne-pain. Donc… euh… bon, je vous passe les détails.

Donc là, pareil, on a passé les coups de téléphone. Le broker nous l’a fait à l’envers. “Oui, j’ai un client…” machin… enfin bref, il nous l’a faite. Vous pouvez demander à Didier pour témoigner, on vous le reboardera, Didier, mais il nous a fait croire que le bateau était vendu, enfin qu’il allait se vendre, qu’il avait un client sur le chat, il a mis « pending » (donc « en attente ») sur le site de brokerage, et comme par hasard, je lui ai dit : “Non mais t’inquiète pas, tout ça c’est normal.”
Trois jours plus tard, le client n’était pas sérieux, machin, forcément, en vente, on vous apprend à créer l’urgence.
Donc c’était “maintenant faut l’acheter”, “vous voulez que Didier passe un acompte, fasse une offre”, etc.
Donc on n’est pas tombés dans le piège. Et aujourd’hui, le bateau est toujours disponible.
Didier va à la banque vendredi. Il était à la banque espagnole, là, il a deux endroits.
Didier et le bateau, on l’a toujours en disponibilité.

Et ça, avoir avec vous quelqu’un qui a le recul suffisant, qui n’est pas dans l’émotionnel…
Parce que moi, je suis pas dans… moi, malgré que j’adore Didier et Nathalie — ils le savent bien — qu’ils achètent ou pas le bateau, je m’en fous, ça ne va pas changer ma vie. Vous voyez ce que je veux dire ?
C’est pas celui-là, ce sera un autre.
Alors moi, je suis pas dans l’émotionnel du tout, ce qui permet de temporiser.
Eux, ils ont été très cool, ils m’ont dit : “Nous, Stéphane, voilà, on se dit que si c’est pas celui-là, c’est que ça devait pas être celui-là.”
J’ai beaucoup aimé la philosophie qu’il y avait derrière.

Donc ça, c’est la première chose qu’il faut savoir.
Deuxième chose : dans l’accompagnement, une fois que ça c’est fait, il faut aller faire la visite.
Donc là, aller visiter le bateau. J’ai visité celui-là, machin, etc.
Je vous avais dit, pour Jean, j’ai été aux Seychelles voir un bateau. J’ai été à plein d’endroits voir des bateaux pour des gens.
Mais à un moment donné, il faut se déplacer, faut y aller, faut aller inspecter, faut aller chercher toutes les petites choses qu’on voit et poser les questions.
OK, Yaya, ça te va ? On prend ? Ou tu penses qu’il y a trop de travaux ?
Non ? Non, on y va ? OK, allez, on y va.
Donc ça, il faut faire une expertise sérieuse.

Et ensuite, là où les choses changent un petit peu pour 2026, moi je devrais avoir un peu plus de disponibilité parce que j’espère que Yaya va prendre un peu plus de temps et venir à bord et profiter un peu mieux, parce que sa maman va mieux.
Et donc c’est là où c’est hyper important.
Vous avez vu, regardez, vous vous abonnez à la chaîne de Hana, euh… Seb, les soucis de panneaux solaires, machin, etc.
Bon, nous, j’ai fait une installation sur le bateau, on l’a faite qu’une fois, on a acheté le matériel, on n’y revient pas.
Je n’ai jamais été en manque de solaire, j’ai fait ce qu’il fallait comme il fallait. Vous voyez ce que je veux dire ?
Pas que Sébastien n’ait pas fait ce qu’il fallait comme il fallait, il a suivi les recommandations du vendeur, et il s’est avéré que voilà, il n’a pas été suivi par le SAV, il avait des soucis.
Bref, c’est pas le sujet de la conversation.

Donc ça, nous, moi, je suis là pour vous épauler :
Est-ce que le bateau est en 110 ? Est-ce qu’il est en 220 ?
Comment on fait le changement ? Est-ce que c’est compliqué, pas compliqué ?
Les prises à bord selon la zone de navigation.
Tiens, je vais avoir du propane, je vais avoir du butane, comment ça se passe ?
Où c’est, comment, quoi, les bouteilles, etc. ?
Dessal, pas dessal, générateur, pas générateur, etc. etc.
Tout ça, j’ai l’habitude. Taille de l’annexe et tout ce qui va bien.

Donc là, c’est pareil.
Normalement, je viens avec vous, ça fait partie de la prestation.
Je me déplace sur votre bateau, et on fait ça ensemble.
Et tant qu’on y est, on lève la grand-voile, on fout le génois, et on sort, et on essaie d’avancer.

Donc là, c’est la double contrainte de ma venue à bord :
C’est que non seulement on va s’occuper de toute la partie technique du bateau — et que quand je pars, tout marche — et je vous fais la formation de l’électronique, de l’électricité, des pompes, des moteurs, des machins, des circuits, etc.
Et en plus, on se tape la formation voile, mouillage, gain d’eau, remouillage, démouillage, remouillage, démouillage…
Parce que c’est hyper important à deux de savoir mouiller, rentrer dans une marina, et sparker, et qu’il n’y ait pas de prise de bec, de machin, etc. etc.
Faut que ça se passe smooth, sans un bruit.

Hein, Didier est venu, on a fait je sais pas combien de mouillages avec Didier pendant les dix jours où il a été là.
On n’a pas arrêté.
On allait se balader tous les jours, hein. Puis des fois on se disait : “Tiens, on va en ville.”
“Ouais, viens, on bouge le bateau.”
Il est pas avec l’annexe, donc tac tac tac.
Il faisait des mouillages, des mouillages.
Nathalie à l’avant avec Divine qui l’aidait, parce que Nathalie, elle n’aime pas trop les filets — ce que je peux comprendre, c’est casse-gueule les filets.
Pas un mot, tout ça en non-verbal, avec des gestes, ça ne crie pas, ça se passe bien, ça se lève, et ça bouge.

Donc tout ça, voilà, c’est les choses que je vous apporte.
Et normalement, donc, c’est un suivi qui est assez long, parce qu’entre le moment où on déclenche, le moment où on se dit “bon, on y va, on se met en relation et on commence à…”,
et vous allez voir que je suis pas… comment dirais-je… j’allais dire ça…
Ouais, mon franc-parler me joue des tours des fois.
Des fois je suis pas très…
Si vous êtes trop rêveur, je vais vous remettre les pieds sur terre.
Je… non.
Ça, je pense qu’à l’âge que tu as, aller traverser l’Atlantique à deux sur ce bateau-là, c’est une connerie.
Et là, vous allez au crash.

Et ça, moi, j’ai pas peur de le dire.
Parce que moi, je suis payé pour que vous ayez la paix de l’esprit, que ça aille jusqu’au bout dans les meilleures conditions,
et qu’avec votre femme vous viviez.
Alors, ça sera pas parfait, parce que bateau, c’est une emmerde par jour,
mais que vous évitiez tous les pièges qui font qu’on s’engueule à bord,
qu’on se lasse,
qu’on revend,
et qu’on n’a plus envie.

Vous voyez ce que je veux dire ?
Si je pense qu’ils avaient eu Grand Tour en coaching, ils n’auraient jamais acheté le bateau.
Ou ça se serait bien passé derrière, mais ça se serait pas passé comme ça pour eux.
Bref.

Donc ça, c’est le fait de m’avoir.
C’est là où je recadre un petit peu, en disant : attention, là on est dans du rêve, là on est dans la réalité.
Si vous voulez être dans le rêve, ça ne marchera pas.
Si vous êtes dans la réalité, je sais que vous pouvez y arriver, vous allez le faire, et on va tout faire pour que ça se passe bien.
Et ça, ça va bien se passer.

Et là, on y va.
Derrière, donc, il y a la recherche des chevaux à trois pattes, hein, des moutons à trois pattes.
Derrière, il y a le déclenchement de l’achat avec la visite, etc. etc.
Et encore derrière, quand il y a le déclenchement de l’achat, déjà je me suis déplacé, j’ai pris l’avion — qui n’est pas compris dans la prestation — pour vous accompagner, etc. etc.
Et on a fait ça ensemble.

Et derrière, il va falloir que je revienne à bord.
Et en général, je ne reviens pas tout seul.
Parce que je vous rappelle que je suis marié avec une Philippine, qui a bien voyagé, puisque c’est son truc,
et donc elle a envie d’aller voir les bateaux, et d’aller voir comment ça se passe dans ce département-là ou dans cette région de France-là, et goûter la bouffe.
Donc on vient à deux.
Et après, on passe du temps avec vous à faire les choses.

Donc si vous voulez, c’est un process qui est long.
Ça me demande au moins trois semaines avec vous à bord.
Ce qui veut dire qu’à un moment donné, moi, je suis un petit peu avec Yaya, je peux pas prendre tout le monde.
Parce que je vais pas dire à Yaya : “Bon Yaya, tu es gentil, mais salut, bonne chance mon ami, hein.”
Ça ne se passe pas comme ça.

Voilà, donc on va s’arranger pour que… voilà.
Donc vous n’êtes pas nombreux à pouvoir profiter de mes services.
Si c’est le cas pour 2026, et que vous êtes décidés, contactez-moi maintenant.
Je suis en train de faire l’emploi du temps, que ça me laisse le temps, moi, de m’organiser de l’autre côté.

Voilà, c’est tout ce que j’avais à dire dans cette vidéo.
Donc c’est un accompagnement complet.

Alors je voulais revenir là-dessus aussi : il y a des gens qui ont posé des questions sur Facebook, genre :
“Est-ce que quelqu’un a déjà travaillé avec Stéphane ou pris ses vidéos ?”
J’ai Dédé qui a gentiment répondu, qui a dit :
“Oui, je l’ai fait, et bon, ça s’est bien passé,” etc. etc.
Et puis il y a d’autres personnes qui proposent ce genre de prestations, d’autres chaînes YouTube qui sont venues mettre la main à la pâte, en disant :
“Oui, mais tu peux me contacter moi aussi si tu veux. Le premier appel est gratuit,” machin, etc. etc.

Alors… grand bien leur fasse, hein.
Vous êtes libres d’aller travailler avec qui vous voulez.
Et qu’ils continuent à essayer de récupérer des clients s’ils veulent.
Moi, je ne peux pas tous les prendre.

Moi, mon mode de fonctionnement — et c’est là où il est important —
je ne fonctionne pas à la prestation ni au conseil.
Ça, ça me gave.
Je suis très mauvais en business.
J’ai fait une bourse complète où je dis : voilà, ça, ça englobe la prestation,
il y a… c’est une fois, c’est un paiement,
et derrière, tu peux me poser 80 000 questions si tu veux.

Dédé, je l’ai tous les jours sur WhatsApp.
Tous les matins, il est en train de refaire des épicures, de faire plein de choses sur son bateau, etc. etc.
Pas forcément que je l’aide, hein, on a des discussions, mais on échange des choses.
Tous les téléphones… on a clôturé notre relation — comment dirais-je — financière, au mois de mars l’année dernière.
Et ça me fait plaisir, surtout d’aider.

S’il te plaît, continue d’aider.
Régulièrement au téléphone, comme je demande des nouvelles à Jean-Michel, etc. etc. etc.
C’est ça que vous avez avec moi.
C’est-à-dire que je transforme en général ma relation de prestation en relation humaine.

Moi, je travaille sur de l’humain.
C’est-à-dire que si vous ne me plaisez pas, je vais vous dire : “Non, je ne travaille pas avec vous.”
Et ça va pas plus loin.
Parce que je n’ai pas envie de me coltiner quelqu’un pendant le reste de ma vie qui va m’appeler et que je n’aime pas.
Donc si on travaille ensemble, c’est parce que, voilà, je trouve que la mayonnaise prend bien.
Et après, c’est comme si vous appeliez un pote.
Dédé, il ne m’appelle pas “Stéphane de la chaîne YouTube” — non.
Il appelle un copain.
Il m’appelle. Il est à la retraite.
On parle de tout.
Il me parle des tomates que fait pousser sa femme dans son jardin,
et je lui parle, moi, de la pêche fabuleuse qu’on a faite avec Divine.
Ça fait partie du jeu.

vous ferez partie de cette petite famille qui est autour de moi. Et à un moment donné, c’est illimité. Voilà. Donc allez pas vous poser la question de “combien ça se passe, combien c’est pour ça, combien c’est pour ça, combien c’est pour ça”.
Je ne fais pas de demi-prestations, je ne fais pas de carte de prestations, je ne fais pas de prestations à l’heure ou quoi que ce soit.
J’ai quelqu’un qui m’a appelé, enfin qui m’a contacté, il y a je sais pas combien de temps — j’ai plus son nom d’ailleurs — pour qu’on travaille ensemble.
On a fait le point ensemble, et il avait dans son environnement quelqu’un avec qui il avait fait des stages de voile, avec qui il s’entendait bien, avec qui le courant passait bien.
Je l’ai envoyé vers cette personne, et je ne l’ai pas pris.
Et je lui ai dit : “Écoute, ça marche avec lui, reste avec lui. Si tu as confiance, vas-y. C’est bien.”
Il m’a dit : “Et si j’ai des questions, je reviens vers toi ?”
Je lui ai dit : “Oui.”
Et il est autonome de son côté.
Et j’ai pas essayé de le récupérer absolument. Pourtant, j’ai passé une heure en visio avec lui, ou une heure trente, et il m’a pas payé quoi que ce soit.
Et je lui ai pas demandé de me payer quoi que ce soit.
Il m’a dit : “Oui, Steph, il faudrait que…”
Je lui ai dit : “Mais non. Le but, c’est que ton projet, il se fasse. Vas-y. Va là-bas.
Je suis très content qu’on ait ensemble enlevé la poussière de dessus, et qu’on ait pu, voilà, avoir une première page qui était claire, et que tu saches où tu vas, gars.”

Et voilà.
Donc je prends pas de gants.
Vous verrez, vous posez pas la question de “voilà, le tarif, il est unique, tout est compris dedans.”
Voilà.
C’était pour aider ceux qui ont envie de le faire.

Sur le questionnaire sur l’indépendance financière, je reviens là-dessus.
Alors il y a tout un tas de personnes qui sont dans le rêve absolu, dans les réponses qu’ils m’ont données.
Je les ai… malheureusement, je vais dire que j’ai pas le…
J’ai reçu… je sais plus combien de bonnes réponses…
Bref.
Donc j’ai lu les réponses.
On les a lues, beaucoup, avec Didier et Manifunaise.
Mais ça, c’est les rêveurs.
Voilà.
Je les ai mis de côté.
J’ai pas donné suite.

Il y a une petite partie à laquelle j’ai donné suite, donc, qui ont reçu une vidéo explicative pour ceux qui veulent, voilà, exploiter leur bateau et faire des revenus avec.
Je vous rappelle que ça ne se fera pas dans l’Union européenne, ni dans les DOM-TOM,
et que ça ne se fera pas sous pavillon français.

Je voulais faire une petite récapitulation sur le côté NUC de la chose.
J’en profite dans cette vidéo.
Je dis souvent : “Vous n’avez pas besoin d’être en NUC.”
Attention, c’est une faute d’expression.

La loi du pavillon l’emporte sur la loi du pays.
Donc un bateau qui serait ici, au Bahamas, et qui est sous pavillon français, pour pouvoir faire une activité commerciale à bord, a l’obligation d’être sous la loi du pavillon.
Il doit donc être en NUC, et avoir un capitaine 200.
Il ne peut pas.
Et même si vous dites : “Je vais faire ça en loose day,”
le jour où vous avez un mort à bord, ça se passe très mal pour vous.
Donc ne faites absolument pas ça.
Si vous avez le bateau sous pavillon français, ne faites pas de choses commerciales avec.

Voilà.
Par contre, à partir du moment où vous sortez de la réglementation française — donc que le bateau n’est pas pavillonné en France — vous n’avez plus l’obligation d’être sous la loi française.
Vous avez l’obligation d’être sous la loi du pavillon que vous avez.

Voilà.
Et là, du coup, le NUC n’est que pour les bateaux sous pavillon français.
Et le capitaine 200, c’est en général sur les bateaux sous pavillon français.
Ailleurs, il y a d’autres règles.
Il y a des pays qui demandent des diplômes, d’autres pas, etc. etc.
L’armement de sécurité, c’est plus le même.

Voilà.
Donc c’était le petit rappel.
Attention, je n’ai pas dit qu’on pouvait être sous pavillon français et ne pas être en NUC.
Ce que je veux dire, c’est que le NUC, c’est uniquement pour les pavillons français.
Et la France… Rome… tous les chemins mènent à Rome, et la France n’est pas le centre du monde.

Donc voilà. Sortez un petit peu de cette pensée-là. Voilà.
J’espère que cette vidéo vous aura éclairci un petit peu.
N’hésitez pas à venir vers moi ou me contacter, vous avez l’e-mail dans la description.
Merci à tous et à toutes.
À la semaine prochaine, on sera en stage de voile.